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Biologie des croyances: Résumé 2 – Le rôle de la physique Quantique

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Chapitre 3 : La membrane Magique

Avons-nous de l’influence sur notre génétique ? L’ADN a-t-elle autant de pouvoir sur notre vie que l’on accepte de le croire ?

Au chapitre précédent l’auteur a montré que si on enlevait le noyau de la cellule, celle-ci continuerait à vivre mais ne pourrait plus se multiplier. En revanche, si l’on retire la membrane alors la cellule se retrouve immédiatement dans un coma avant de mourir.

Par ailleurs, l’auteur montre que la membrane a une activité neurologique. De plus elle mange, respire, digère et nourri la cellule. Celle-ci est composée de récepteurs internes et externes permettant de gérer le flux d’informations venant de l’intérieur de la cellule et de l’extérieur. C’est de cette manière que le circuit d’informations / actions se met en place. La protéine réceptrice reçoit un signal de l’extérieur (physique ou énergique) sous forme de signal électrique chargé soit positif ou négatif induisant un changement d’état. Une protéine effectrice passe alors à l’action pour s’adapter à l’environnement. Lorsque la protéine passe à l’action elle ouvre une porte en envoyant un signal à l’ADN qui pourra créer de nouvelles protéines mieux adapté à l’environnement.

Pour illustrer sa thèse, l’auteur fait une analogie avec un ordinateur. La membrane cellulaire serait comme une puce informatique « la puce est un cristal semi-conducteur contenant des portes et des canaux ». Le chercheur, B.A Cornell a isolé une membrane cellulaire et fixé une feuille d’or en dessus et une solution spéciale. Les récepteurs stimulés par un signal complémentaire ouvrait leurs portent pour laisser passer la solution. Le signal électrique était alors traduit par la feuille d’or sur un écran. Par conséquent, l’ADN serait simplement un disque dur externe contenant les programmes. Nous pouvons glisser dans l’ordinateur une grande quantité de logiciels spécialisés (traitement de texte, info graphisme, tableur…). Une fois les logiciels téléchargés dans la mémoire active nous pouvons retirer le disque dur externe sans interférer avec le programme en cours. Et bien c’est la même chose si vous enlevez l’ADN de la cellule. Les cellules continueraient de vivre jusqu’au moment ou leurs logiciels deviendraient obsolètes. Mais ce sont les signaux extérieurs ou énergiques de l’intérieur que l’on enverra à nos membranes réceptrices qui laisseront passées les informations environnementales aux protéines effectrices qui les traduiront en langage comportemental.   Bruce LIPTON conclu ce chapitre en insistant sur le fait que ce sont nos pensées qui permettront d’ouvrir ou fermer les portes de notre membrane cellulaire et non notre ADN qui n’est que la mémoire physique des expériences.

Chapitre 4 : La nouvelle physique : les deux pieds solidement ancrés dans le vide

Bruce LIPTON, dans ce chapitre, montre sa rencontre avec l’univers quantique. Lui, comme beaucoup de biologiste, n’a jamais cru en la physique quantique et ne l’avait alors jamais étudié. Mais, à l’aéroport, il réalisa qu’il n’avait rien pour occuper son vol. C’est alors qu’il se dirige en vitesse à un magasin qui vendait des livres où il achetait un livre de Pagels intitulé « L’univers Quantique : du Quarks aux étoiles ». Il dévora se livre pendant tout le vol et remarqua les liens entre la biologie et la physique quantique. C’est ainsi qu’il constata les limites de la médecine traditionnelle qui est basée sur les théories de Newton où la matière physique s’arrêterait à l’atome et ignorerait la partie énergétique dont tient compte la physique quantique. En physique quantique, tout est énergie. D’ailleurs, comme le disait Einstein « Concernant la matière, nous nous sommes trompés. Ce que nous avons appelé matière n’est que de l’énergie qui a ralenti sa vibration afin d’être perceptible par nos sens. Il n’y a pas de matière. » En effet, la physique quantique montre que même les atomes, longtemps considérés comme indivisibles sont composés de particules appelés Quarks et Photons dégageant une certaines quantité d’énergie. D’après l’auteur, si nous observons un atome d’un point de vue quantique, alors nous observerons un vide physique. De la même manière qu’un tourbillon de sable et de poussière. Enlever le sable et la poussière et une quantité d’énergie continuera de tourner. Ainsi tout serait constitué d’énergie. C’est pourquoi, les diagnostics médicaux actuels ne permettent pas de décelés les cause des maladies. Par exemple, un cancer n’est visible que lorsque la tumeur est formée et palpable physiquement. Mais nous ne savons pas de quelle manière et pour quelle raison cette énergie c’est formée dans la molécule. Ainsi la médecine actuelle ne traiterait que les effets de la maladie et non la cause qui serait liée, elle, à une modification d’énergie. Par ailleurs, l’auteur met en avant les médecines orientales, qui intègrent depuis des millénaires, l’énergie dans leur thérapie. Or, en occident, ces médecines ne sont pas reconnues comme scientifiques. Bruce LIPTON soulève alors la question : « pourquoi ne sont-elles pas reconnues comme scientifique ? » Qui finance les recherches médicales en occident ? Les laboratoires pharmaceutiques ! Or, les laboratoires pharmaceutiques n’ont aucun intérêt à financer des études concernant les médecines traitant l’énergie, cela n’a aucun intérêt financier. En d’autres termes, s’il est aujourd’hui impossible de prouver scientifiquement l’efficacité des médecines alternatives c’est parce que personne ne peut financer ces recherches. Pour autant, l’énergie est bien présente et certaines tribus aborigènes ont gardé leurs facultés sensorielles leur permettant d’être toujours connectés aux signaux énergétiques environnementaux comme les aborigènes capables de ressentir le champ magnétique de l’eau.

Le point à retenir de ce chapitre est que la matière et l’énergie sont enchevêtrés alors que la médecine moderne tend à les séparer et que l’énergie agit plus efficacement sur la matière que les agents chimiques.

Chapitre 5 : Biologie et croyances

On y arrive, comment les croyances et la biologie sont-elles liées. Pour illustrer le pouvoir de nos croyances de notre esprit sur notre biologie Bruce LIPTON commence par citer l’expérience du Docteur Albert MASON à ses débuts en 1952. Celui-ci, s’était vu confié un jeune garçon atteint d’une maladie congénitale assez grave, l’Ichtyose. C’est maladie a pour effet de couvrir le corps de verrues à la personne qui en est atteinte. Albert MASON n’avait pas connaissance que le jeune garçon était atteint de cette maladie, il pensait qu’il avait simplement des verrues. Alors le thérapeute décida d’utiliser l’Hypnose pour suggérer au garçon en état de transe que son bras guérirait et qu’il redevenait doux et rose. Au fil du temps, le bras, puis le corps tout entier était débarrassé des verrues. Le chirurgien qui avait auparavant effectué une greffe appris cette nouvelle et dit à MASON que l’enfant était atteint de l’Ichtyose. La nouvelle se rependit dans toute la région et des personnes atteintes de cette maladies venaient voir MASON pour être traitée. Mais cette fois-ci l’hypnose ne fonctionnait plus. En effet, MASON croyait avoir soigné un jeune homme de simples verrues et non d’une maladie congénitale. Ainsi, MASON avouait bluffer devant ses clients mais il ne se croyait pas capable de soigner cette maladie et n’obtient aucun nouveau résultat positif.

L’auteur montre, par cet exemple, le pouvoir de nos pensées sur le corps et aimerait que ces effets exceptionnels soient exploités par la médecine au lieu d’être rejeté. Il rebondit sur l’effet placebo, où les laboratoires pharmaceutiques, écartent d’entrée de jeu les personnes qui réagissent au placebo, ce qui, d’après LIPTON, représenterai un tiers des personnes. L’effet placebo va encore plus loin. En effet, le chirurgien Bruce MOSELEY, souhaitait savoir quelle opération était la plus efficace concernant les douleurs au genou. Ainsi, il divisa ses patients en trois groupes. Le premier se vu retirer les cartilages du genou endommagé, le deuxième subit un lavage de l’articulation et le retrait de la matière qu’il croyait être la cause de l’infection et le dernier subissait une fausse opération. Les résultats, d’après l’auteur, furent incroyables, toutes les personnes du groupe ayant subit la fausse opération se sont améliorés autant que les deux autres. Juste parce que les personnes, l’esprit, a cru être soigné, leur physiologie s’est amélioré.

D’après LIPTON, les cellules obéissent scrupuleusement au cerveau. Par ailleurs, celles-ci ont toutes des récepteurs nerveux, comme-ci l’esprit était partout dans le corps.  Ainsi, d’après l’auteur, les pensées seraient une énergie qui façonnerait l’esprit qui influencerait notre cerveau et donc notre physiologie.  Or, la grande partie de nos pensées sont inconscientes et se sont programmées pendant notre jeune enfance. Cela serait pourquoi certains adeptes de la pensée positive sont déçu et la rechute et d’autant plus dure. Ils n’ont pas déprogrammé leurs pensées inconscientes qu’ils ont eux même créé et qui se sont transformées en habitudes neuronales.

Le dernier point à retenir de ce chapitre est le système limbique. Le système limbique, est le siège des émotions. Son rôle serait de transformé les réactions biochimiques de notre corps en sensation pour les transmettre à la partie consciente. Or, l’esprit peut lui aussi influencer les émotions et transmettre des « ordres » au cerveau limbique qui a son tour donnera les ordres à la cellule provoquant des réactions chimiques et des sensations.

D’où l’importance de vivre en pleine conscience et repérer nos schémas inconscients pour pouvoir les modifier.

About Pierre

Praticien en Hypnose & Coach spécialisé en Neurosciences - Membre de l'Equipe de France de Savate Boxe Française 2014 & 2015